De Verdun à Rio, Albert Caquot, itinéraires d’un génie

Albert Caquot, un ingénieur visionnaire

Quatrième de couverture

Albert Caquot, polytechnicien multidécoré, est le plus grand ingénieur français de la première moitié du xxe siècle !

1915. Il invente un ballon d’observation révolutionnaire pour surveiller les lignes ennemies et orienter le tir de l’artillerie. L’aviation balbutie, il en améliore les performances et contribue largement à la victoire finale des alliés.

On lui doit des centaines d’ouvrages dans le monde, des ponts, des barrages hydroélectriques, des tunnels, presque tous des records, le premier musée de l’air de l’histoire, la structure interne du Christ du Corcovado à Rio de Janeiro…

Marcel Dassault dira de lui : « C’était un visionnaire, il était en avance sur tout le monde ! »

À l’heure des défis écologiques, certains de ses projets sont toujours d’actualité.

Dans ce récit, l’auteur nous fait vivre des pans inconnus de l’histoire où nous rencontrons tour à tour, le poète Guillaume Apollinaire, le sculpteur Paul Landowski, le cinéaste Jean Rouch, le compositeur Reynaldo Hahn et l’architecte Oscar Niemeyer.

Sous-tendant l’intrigue fondée sur des faits réels, la spiritualité d’un soldat français nous emporte loin.

Présentation 

Ce récit historique débute en mars 1917. C’est la pleine guerre. Les acteurs principaux en sont Louis Mangin, jeune ingénieur, et Albert Caquot (1881-1976), mon grand-père, inventeur du ballon d’observation qui porte son nom, ainsi que de multiples œuvres de génie civil.
On n’a pas suffisamment écrit sur le rôle majeur de l’aérostation pendant la guerre de 14-18, ni sur l’héroïsme des soldats qui observaient, depuis leurs nacelles, sous les ballons d’observation, les champs de bataille en dirigeant les tirs de l’artillerie, au péril de leur vie. Ils n’avaient que leurs parachutes pour sauter lorsque les avions ennemis les mitraillaient avec des balles incendiaires.
Grâce aux œuvres successives d’Albert Caquot jusqu’en 1976, le récit nous fait rencontrer Paul Landowski, sculpteur du Christ qui nous transporte au Brésil, puis le poète Guillaume Apollinaire, l’architecte Oscar Niemeyer, le cinéaste, Jean Rouch son élève, qui l’ont évoqué, et d’autres univers.
Sous-tendant l’intrigue fondée sur des faits réels, la spiritualité chrétienne d’un soldat français nous entraîne loin.