Quatrième de couverture.
12 octobre 1992. Trois ingénieurs français sont sur le site de la pyramide de Khéops, le pharaon dont ils cherchent le tombeau.
À 15 heures 09, au moment où leurs mesures débutent dans la Chambre souterraine, un formidable séisme secoue la région et dévaste Le Caire, faisant des centaines de victimes.
Malédiction du pharaon, étrange coïncidence, conclusion d’une dynastie ?
Leurs observations et leurs échanges apportent un nouvel éclairage sur la construction de la Grande Pyramide, fait de certitudes, de doutes et d’espoir.
Khéops exalte le génie des hommes et leur ferveur, mais aussi la démesure des pharaons de l’Ancien Empire depuis Djoser, qui ont participé à l’édification de la merveille.
On peut réfléchir, mais aussi rêver à l’époque reculée où des dizaines de milliers d’ouvriers Égyptiens du plateau de Gizeh qui porte Khéops au-dessus du Nil, d’Assouan, de la mer Rouge et du Sinaï, l’ont édifiée en donnant leur vie.
Chef d’œuvre de l’humanité, on la voudrait toujours respectée et honorée par ses visiteurs, et par les chercheurs qui s’y succèdent.
L’auteur est ingénieur de l’aéronautique, expert honoraire agréé par la cour de Cassation et Conciliateur de justice en activité près la cour d’appel de Paris.
Il est également secrétaire général de l’association Écritures et Spiritualités.