QUELQUES RETOURS SUR ROLAND GARROS

A vrai dire, je ne connaissais pas l’histoire de cet homme, ni l’âge et les circonstances de sa mort. 

On découvre avec vous la vie d’un homme intègre, à l’âme d’inventeur, et d’une grande droiture en amitié.

Vous savez avec votre récit nous plonger dans la vie de l’époque, avec ses personnages qui nous deviennent familiers. 

Et puis j’ai beaucoup aimé, à la fin, le retour de la psychologie, avec les questions sur les causes de la mort, si jeune, de ce héros. 

Merci à vous pour ce livre plein d’énergie, d’invention et de confiance en l’être humain.
Avec l’exposition de Rothko à Paris, je repense aussi à l’un de vos livres où vous parlez de votre fascination dans la chapelle de Houston.

AC

Je veux vous dire le plaisir et l’émotion que j’ai eues à découvrir votre dernier ouvrage.

La personnalité de Roland Garros et de tous ces jeunes gens, héros oubliés d’une époque qui, si elle fut tragique, n’en fut pas moins grandiose, m’a grandement touchée.

Je viens de reprendre avec grand intérêt votre ouvrage précédent sur Khéops. Votre érudition toujours charge d’émotion, m’impressionne. Peut-être, aurons-nous, un jour, la possibilité d’échanger si je parviens à vous faire part des multiples questions que suscitent vos ouvrages.

N M

J’ai été intéressée de découvrir la personnalité et la courte vie de Roland Garros, le personnage de chair et d’os, dans son humanité.

Le récit est très documenté et nous fait bien réaliser l’époque dans laquelle il s’inscrit

J’ai l’impression d’avoir lu le cousin germain de De Verdun à Rio, en naviguant dans le même univers. Pas mal de symétrie dans les deux livres, même dans certaines scènes comme par exemple la scène de danse à Rio, avec la femme qui lui fait découvrir l’amour ! ou dans les modes de récit utilisés, comme le recours aux lettres…

J’ai bien aimé les citations de poèmes qui allègent et scandent le texte

Tout ce qui est raconté, en particulier à partir de la guerre, coule très bien pour la néophyte que je suis et me rend sensible tout ce vécu dramatique.

S H